mercredi, 05 juin 2013 15:03

Bernard Werber - La Trilogie des Fourmis, tome 1 : Les Fourmis

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Synopsis

Pendant les quelques secondes nécessaires pour lire cette seule phrase vont naître sur terre quarante humains mais surtout sept cents millions de fourmis. Depuis plus de cent millions d'années avant nous, elles sont là, réparties en légions, en cités, en empires sur toute la surface du globe. Iles ont créé une civilisation parallèle, bâti de véritables royaumes, inventé les armes les plus sophistiquées, conçu tout un art de la guerre et de la cité que nous sommes loin d'égaler, maîtrisé une technologie stupéfiante. Elles ont leur propre Attila, Christophe Colomb, Jules César, Machiavel ou Léonard de Vinci. Le jour des fourmis approche. Le roman pas comme les autres nous dit pourquoi et nous plonge de manière saisissante dans un univers de crimes, de monstruosités, de guerres tel que nous n'en avons jamais connu. Au-delà de toute imagination. Il nous fait entrer dans le monde des infra-terrestres. Attention où vous mettrez les pieds. Après avoir lu ce roman fascinant, vous risquez de ne plus regarder la réalité de la même manière.

Editions Le Livre de Poche (2008)
313 pages
Science-fiction

Mon avis

Étrange de vouloir faire une histoire et même une trilogie centrée sur les fourmis. Il n'y a vraiment que Bernard Werber pour nous pondre ça.

Tout au long de ce premier tome, nous suivons deux intrigues différentes.
D'une part, celle d'un groupe de fourmis qui veut savoir quelle arme secrète a décimé une troupe d'exploration d'un seul coup, ne laissant qu'un rescapé.
D'autre part, celle d'un homme et son fils qui vont pénétrer dans une cave mystérieuse appartenant à un entomologiste dont ils ont hérité et qui a écrit "l'encyclopédie du savoir relatif et absolu". Ces deux hommes ne reviendront pas de la cave, ni le groupe de sauvetage.
Nous alternons dont entre l'aventure des fourmis et celle des humains, ce qui donne un certain rythme à l'histoire.

Ce que j'ai bien aimé aussi c'est que nous apprenons plus sur le mode de fonctionnement d'une fourmilière, de leur reine, des hiérarchies...
L'ensemble de l'histoire est intéressante mais il y a parfois trop de passages mous qui m'ont ralenti dans ma lecture. Surtout que les chapitres sont assez longs, rien que le premier fait une centaine de pages.
Le style d'écriture de Bernard Werber peut en perturber plus d'un. Personnellement cela ne m'a pas dérangé pour l'instant.

Par contre, c'est vrai que le mystère de la cave a pris plus d'ampleur chez moi, je voulais savoir ce qu'il s'y passait. Et comme les fourmis ne sont nommées qu'avec des numéros, il faut un minimum se concentrer pour retrouver qui a fait quoi...

Un premier tome qui a su, en grande partie, me charmer de part son originalité et cette envie de vouloir connaitre la suite.

Ma note : 6 / 10

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