vendredi, 14 avril 2017 12:55

Thierry Berlanda - Tempête sur nogales

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Synopsis

Sur la route de Tombstone à Nogales, à la frontière entre l'Arizona et le Mexique, sous un soleil de fonte, une tempête se prépare. Tempête de sable, de vent, de souvenirs. Avec dans la ligne de mire le snack de Jess, planté au mile 88, en plein désert. Et tous, sans exception, aussi bien Dennewich - l'odieux patron du cabaret à filles - , que les chauffeurs de la compagnie de trucks locale et que la population entière, s'agitent de plus en plus à mesure qu'approche avec la tempête une Pontiac noire, tel un funeste présage. Pour quelle raison ce mystérieux attelage terrorise-t-il Jess, ange blond à la voix de chanteuse black et au passé enfoui ? Le gosse - un pauvre type éperdument amoureux d'elle - et son vieux pote Holly seront-ils de taille à la protéger ? A moins que la belle ne préfère l'aide de Cooper, un nouveau chauffeur qui ne la laisse pas indifférente.
Les âmes égarées ont-elles droit à une seconde chance, ou dans cette arène aux allures de tombeau ouvert, la poussière doit-elle nécessairement retourner à la poussière ?

Editions La Bourdonnaye (2014)
165 pages
Aventure

Mon avis

Ce genre de roman n’est pas un livre que j’aurais lu spontanément. L’ayant gagné à un concours, cela me permet de le découvrir même s’il n’est vraiment pas pour moi.

Nous sommes au cœur d’un bar en plein désert, entre l’Arizona et le Mexique. Jess en est la propriétaire et tous les camionneurs s’arrêtent pour ses beaux yeux et son alcool. Mais celle-ci a peur depuis qu’une Pontiac traine dans le coin à la recherche d’une chanteuse.

Nous imaginons bien le bar et l’environnement autour, aride et désertique, mais j’ai eu du mal à croire qu’une belle jeune femme serve des routiers bourrins imbibés d’alcool.
Bien entendu, comme dans tous westerns, cela se finit au règlement de compte, avec des armes à feu... mais je n’ai pas été plus emballée que ça, même si les révélations sont surprenantes.
Le style d’écriture est vraiment perturbant... nous sommes, apparemment dans les pensées du « gosse », le narrateur alcoolique. C’est long et éprouvant à lire.

Beaucoup trop de lenteur dans ce roman mais de très bonnes descriptions.

Ma note 5 / 10

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